• sur ma liseuse 

    une trés belle histoire vécue par l'auteur

     

    Derniers fragments d'un long voyage

    Du 1er septembre 2006 au 1er mars 2007, Christiane Singer a tenu le journal de l'épreuve qu'elle traverse et dont, lui avait dit un jeune médecin, elle ne survivrait pas plus de six mois. " J'ai toujours partagé tout ce que je vivais ; toute mon oeuvre, toute mon écriture, était un partage de mon expérience de vie ". Aujoud'hui, elle raconte son quotidien, les affres et le désarroi, comme la joie et le bonheur d'être qu'elle n'a jamais autant connu. Au fil des jours, du corps qui souffre puis s'apaise, de l'amour des siens, des visites, des prières (qu'elles relèvent du christianisme, du judaïsme, du bouddhisme, de l'hindouisme, du soufisme), des descentes dans l'abîme et des montées de lumière, elle exprime cette force de disponibilité qui l'habite, cette allégresse profonde à magnifier la vie, à en recueillir la sève dans l'instant le plus infime. Un texte transparent, ardent, essentiel, l'aboutissement de toute une oeuvre. On y retrouve la même composition mêlant pensées, rencontres, anecdotes pour exprimer cette intensité d'être, la perception que tout en nous est coulée unique, joie et tristesse, souffrance et sérénité, une vibration d'énergie et d'amour qui transcende toutes les oppositions et toutes les représentations erronées de la vie et de la mort. 

     

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    Cette scène à réellement eu lieu

    sur le vol de la Cie British Airways

    entre Johannesburg et Londres

     

     

    Une femme blanche, d'environ cinquane ans, s'assied à côté d'un noir. Visiblement perturbée, elle appelle l'hôtesse de l'air.

     

    L'hôtesse : " Quel est votre problème, Madame ? "

    Le femme blanche : " Mais vous ne le voyez donc pas ?

    Vous m'avez placé à coté d'un noir. Je ne supporte pas de resté à coté d'un de ces êtres dégoûtants. Donnez-moi un autre siège, s'il vous plait !!!

     

    L'hôtesse : " Calmez-vous, presque toutes les places de ce vol sont prises. Je vais voir s'il y a une place disponible ".

     

    - L'hôtesse s'éloigne et revient quelques mininutes plus tard...

     

    L'hôtesse : " Madame, comme je le pensais, il n'y a plus aucune place de libre dans la classe économique. J'ai parlé au commandant, et il m'a confirmé qu'il n'y a plus de place dans la classe exécutive. Toutefois, nous avons encore une place en première classe ".

     

    - Avant que la femme blanche puisse faire le moindre commentaire.

    - L'hôtesse de l'air continue :

    L'hôtesse : " Il est tout à fait inhabituel dans notre compagnie de permettre à une personne de classe économique de s'asseoir en première classe.

    Mais, vu, les circonstances, le commandant trouve qu'il serait scandaleux d'obliger quelqu'un à s'asseoir à côté d'une personne aussi répugnante ".

     

    - L'hôtesse se tourne vers le noir et lui dit :

     

    L'hôtesse : " Donc, Monsieur, si vous le souhaitez, prenez votre bagage à main, car un siège vous attend en première classe ".

     

    - Et tous les passagers autour, qui, choqués, assistaient à la scène, se levèrent et applaudirent ...

     

    CHER FRERE BLANC,

     

    QUAND JE SUIS NE, J'ETAIS NOIR,

    QUAND J'AI GRANDI, J'ETAIS NOIR,

    QUAND JE VAIS AU SOLEIL, JE SUIS NOIR,

    QUAND J'AI PEUR, JE SUIS NOIR,

    QUAND JE SUIS MALADE, JE SUIS NOIR...

    QUAND JE MOURRAI, JE SERAI NOIR...

     

     

    TANDIS QUE TOI, HOMME BLANC...

     

    QUAND TU ES NE TU ETAIS, ROSE

    QUAND TU AS GRANDI, TU ETAIS BLANC,

    QUAND TU VAS AU SOLEIL, TU ES ROUGE,

    QUAND TU AS FROID, TU ES BLEU,

    QUAND TU AS PEUR, TU ES VERT,

    QUAND TU ES MALADE, TU ES JAUNE,

    QUAND TU MOURRAS, TU SERAS GRIS...

     

     

    ET APRES CELA,

     

    TU AS LE TOUPET DE M'APPELER

    " L'HOMME DE COULEUR ! "

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    une bien belle histoire a méditer 

     

    Histoire très touchante et émouvante

    qui donne à réfléchir

     

    Une fille aveugle se détestait tellement parce qu'elle était

    aveugle. Elle haïssait tout le monde sauf son ami

    de garçon. Il était toujours là pour elle

    Un jour,elle lui dit: " Si seulement je pouvais

    voir le monde,je me marierais avec toi."

     

    Un jour, quelqu'un lui a fait le don de ses yeux,

    un donneur anonyme. Quand les bandages ont été enlevés,

    elle fût capable de tout voir incluant son ami de garçon. 

    Il lui demanda: "Maintenant que tu peux voir le monde,

    te marieras-tu avec moi ? "

     

    La fille le regarda et elle vit qu'il était aveugle aussi.  

    La vue de ses paupières fermées la bouleversa.

    Elle ne s'attendait pas à ça. 

    La pensée de le voir ainsi pour le reste de sa vie

    la mena à refuser de se marier avec lui. 

    Son ami la quitta en pleurs et quelques jours plus tard

    il lui écrivit une note qui disait : 

    " Prends bien soin de tes yeux car avant qu'ils deviennent

    les tiens,ils étaient les miens."

    *****

     

    Histoire très touchante et émouvante

    qui donne à réfléchir

     

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    MES CITATIONS

     

     

     Confucius (chinois simplifié : 孔子 ; pinyin : Kǒng Zǐ ; Wade : K'ung³-tzu³), né le 28 septembre 551 av. J.-C. à Zou (陬) et mort le 11 mai 479 av. J.-C. à Qufu (曲阜) dans l’actuelle province du Shandong, est un philosophe chinois. Son patronyme est Kong, son prénom Qiu, et son prénom social Zhongni1. Il est le personnage historique qui a le plus marqué la civilisation chinoise, et est considéré comme le premier « éducateur » de la Chine.

     

    Celui qui plante la vertu ne doit pas oublier de l'arroser souvent.

     

    L'homme supérieur c'est celui qui d'abord met ses paroles en pratique, et ensuite parle conformément à ses actions.

     

    Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu.

        

        C'est seulement quand l'hiver est arrivé qu'on s'aperçoit que le pin et le cyprès perdent leurs feuilles après tous les autres arbres.

        

        Ce n'est pas un malheur d'être méconnu des hommes, mais c'est un malheur de les méconnaître.   

     

    Dépasser les limites n'est pas un moindre défaut que de rester en deçà.

        

        Entendre ou lire sans réfléchir est une occupation vaine ; réfléchir sans livre ni maître est dangereux.    

      

        Il faut se garder de trois fautes : parler sans y être invité, ce qui est impertinence ;

    ne pas parler quand on y est invité, ce qui est de la dissimulation ;

    parler sans observer les réactions de l'autre, ce qui est de l'aveuglement.

        

        Je n'ai pas encore vu un homme qui aimât la vertu autant qu'on aime une belle apparence.

        

        Je ne puis apprendre à parler à qui ne s'efforce pas de parler.

        

        Je ne veux ni ne rejette rien absolument, mais je consulte toujours les circonstances.

        

        L'homme sage n'est pas comme un vase ou un instrument qui n'a qu'un usage ; il est apte à tout.

        

        L'ouvrier qui veut bien faire son travail doit commencer par aiguiser ses instruments.

        

        Ne vous souciez pas de n'être pas remarqué ; cherchez plutôt à faire quelque chose de remarquable.

        

        Quand on peut accomplir sa promesse sans manquer à la justice, il faut tenir sa parole.

        

            Rien n'est jamais sans conséquence,

        En conséquence, rien n'est jamais gratuit.

        

        Se peut-il qu'un homme soit moins sage qu'un oiseau ?

        

        Se regarder scrupuleusement soi-même, ne regarder que discrètement les autres.

        

        Tuer un homme pour sauver le monde, ce n'est pas agir pour le bien du monde. S'immoler soi-même pour le bien du monde, voilà qui est bien agir.

        

        Un mot perd l'affaire, un homme détermine le sort d'un empire.

        

        Une injustice n'est rien, si on parvient à l'oublier.

        

        Une image vaut mille mots.

        

        Une petite impatience ruine un grand projet.

        

        Veux-tu apprendre à bien vivre, apprends auparavant à bien mourir

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